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le fabuleux monde de Terrabin

le fabuleux monde de Terrabin
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25 février 2007

Comment rire à peu de frais

Comment ricaner un bon coup devant son écran ?

C'est très facile, prenez un blog et remplissez les mots-clés pour le référencement dans Google. On peut mettre ce qu'on veut, étonnant non ?

J'avoue, je n'ai pas pu résister, mes mots clé sont "archéoptérix", "sibis pacem para bellum est" et "zizogène". Je crois que si quelqu'un tombe sur ce blog en tapant ces mots clés là, je vais m'étouffer de rire.

Oui je sais ça ne sert strictement à rien, c'est limite mesquin et méchant mais bon... "C'est bien plus beau lorsque c'est inutile" n'est ce pas ?

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21 février 2007

Loose ultime

En vedette aujourd'hui dans notre magnifique émission "la loose ultime", moi, asssistée de notre commentateur vedette : moi-même. Merci de nous applaudire bien fort

Moi-même- Nous accueillons aujourd'hui sur notre plateau Moi, personne estimée et respectable s'il en est, qui va nous raconter sa soirée d'hier dans le cadre de notre grand concourt " La pire loose de ma vie". Rappellons que le prix à gagner est un séjour en hopital psychiatrique. On l'applaudit bien fort et on lui donne la parole, allez-y, Moi.

Moi- Alors hier, j'étais tranquillement en train d'essayer de baisser l'arrière plan sonore d'un entretien pour essayer de le retranscrire sans avoir à deviner un mot sur deux quand môn téléphone sonne. C'était ma cheffe, ils étaient en rade de monde ce soir là jusqu'à 22h, et elle voulais savoir si je pouvais venir en plus.

Moi-même-Et naturellement vous avez dit oui ?

Moi - Ben oui, je sais ce que ça fait quand on manque de monde et je voulais pas que mes collègues soient submergés.

Moi-même- Compte tenu du fait que vous travaillez dans un call center, vous bénéficiez d'un point loose suplémentaire pour bétise patentée, continuez, je vous en prie.

Moi- Ben, comme je suis partie de suite les aider, je me suis aperçue en arrivant que j'avais oublié de prendre des mouchoirs dans mon sac. Il ne m'en restait qu'un de propre pour toute la soirée et en général, j'ai assez souvent envie de me moucher. Déjà c'était dur, surtout qu'aucune de mes collègues n'en avait. Bon, je prend des appels, et là, j'ai besoin d'aller au toilettes. Y'a pas mal d'appels donc j'en prend encore quelques uns et j'y file parce que vraiment, je n'en peux plus, pour le coup, tant pis pour les autres, hein... j'y vais tellement vite que je ne vérifie pas les toilettes et, horreur, je me rend compte après coup qu'il n'y a plus de papier toilette. Adieu mon mouchoir ! Vous avouerez que déjà ça commence mal. Ensuite, je prend des appels de gens plus ou moins sympathique, beaucoup appelant pour un autre service que le mien, qui doit logiquement être saturé puisqu'ils tombent sur moi. Mais ils ne se privent pas de m'engueuler avant de racrocher, ben oui, c'est moi la responsable, normal. Arrivent les deux perles de la soirée. La première, manifestement étudiante, comme moi, un peu affolée, appelle "parce que MSN ça ne marche plus" je lui explique gentillement que malheureusement ce n'est pas de notre ressort et que comme leurs serveurs ont apparemment des soucis en ce moment, elle devrait vérifier le message d'erreur qui s'affiche, déjà, parce que si c'est un problème serveur, il sera de retour dans 5 minutes.... En guise de remerciement, la demoiselle me raccroche au nez...
Arrive ensuite un monsieur, qui appelait pour l'autre service ouvert au delà de 20, qui est très contrarié de tomber sur moi. Pourtant, je suis gentille, hein, mais passon, et pendant qu'il me hurle dessus, l'alarme incendie se déclenche.

Petit aparté, l'alarme incendie couvre tout le bloc d'immeubles, donc tant qu'on ne voit pas le feu, on n'est pas sencés s'enfuir, en gros. Super rassurant, n'est ce pas ? Donc le monsieur hurle, hurle, hurle, pendant bein 5 minutes et se rend compte que quelque chose à l'autre bout du téléphone hurle aussi (l'alarme en l'occurence). Donc il me demande "c'est chez vous ce bruit ?" et je lui répond, blasée "oui, monsieur, c'est l'alarme incendie". Je crois qu'il s'est sentit un peu honteux vu qu'il m'a dit " ah heu, bon courage, je ne vous dérange pas plus au revoir".

Et l'alarme a continué pendant au moins 15 minutes. Après la soirée s'est plus ou moins finie, entre temps je me suis rendu compte que mes collègues pouvaient voir le haut de mes fesses et j'ai commencé à avoir des bouffées de chaleur. ¨Plutôt très loose comme soirée non ?

Moi-même- Ah oui, en effet, hélas, vous n'avez pas encore assez de point-loose. Si vous aviez vraiment fait un malaise, ou si vous vous étiez cassé le tibia en essayant de fuir un incendie, ça aurait pu marcher. Merci d'avoir joué, Moi, mais vous n'êtes pas un looser ultime, juste un looser ordinaire ! A vous les studios et bonne soirée !

8 février 2007

Coup de pompe

Salut geekette,

Juste un petit mot pour te dire que je n'abandonne pas mon relevé pénible de mes petites avancées dans mon mémoire. Mais en ce moment, j'ai la vague impression que mon cerveau a gagné des vacances à la mer et s'est fait la malle sans me demander mon avis.

Il a juste laissé un neurone. Histoire d'assurer un service minimum. Malheureusement, celui-ci ne connait que deux positions : "coup de pompe" ou "migraine". Pas vraiment l'idéal quand tu veux construire une réflexion sèrieuse ou même retranscrire un entretien. Pour le coup, il aurait mieux fait de suivre ses petits copains.

Concrêtement, ça se traduit comme ça : quand je ne suis pas en train de faire un malaise ou de rester assise/allongée en espérant que le vertige passe, je ne suis proprement bonne à rien, si ce n'est à pleurer sur mon sort (ce que je fais très bien) et perdre à Civilization. Je suis vraiment en dessous de tout : je perds à Civ, quelle honte !

Le détail qui tue en plus, c'est que je vais devoir mettre les bouchées doubles pour rattraper tout ce que je n'ai pas pu faire pendant que je me morfondais à la maison... Conclusion, le repos de la convalescence va être remis à Avril, mes prochaine vacances du boulot, hahaha. En espérant, d'ailleurs, que je ne sois pas obligée de rattraper les heures que je n'ai pas fait là bas. Bah oui, quand on a l'impression que son cerveau se liquéfie et sort par les oreilles on ne peut pas être efficace pour répondre au téléphone.

Bref, demain j'essaierai de faire quelque chose de constructif comme te parler de ma théorie de l'identité, pas exemple. Au moins ce ne sera pas trop geignard... quoi que...

15 janvier 2007

... Ca trompe ça trompeeeuh

Et hop, petit extrait de mon travail sur les étudiants :


Etre étudiant aujourd’hui, c’est avant tout remplir un rôle social bien défini. L’étudiant a des pratiques culturelles soigneusement examinées depuis presque 40 ans, des tâches bien précises à remplir et un mode de vie particulier et bien connu si l’on en croit ces titres évocateurs : l’étudiant gourmand, 150 recette simples pour régaler vos ami, (Ourlin, Triadou, éditions l’étudiant pratique) ou Etudiant, mode d’emploi (Granjon, Constans, éditions Omniscience). La vie d’un étudiant est encadrée de nombreuses aides pratiques afin de lui permettre de se consacrer à ses études, qui sont son rôle social. 

Mais l’étudiant n’est pas défini que par cet état de fait. Il possède même plusieurs identités cohabitant avec ce statut d’étudiant. Nous appellerons identité le caractère de ce qui, sous des dénominations ou des aspects divers, ne fait qu’un, ne représente qu’une seule et même réalité (définition du Trésor de La  Langue Française Informatisé). Ainsi, l’étudiant possède plusieurs identités pouvant être complémentaires ou contradictoires et variant en fonction des situations. Le terme par lequel ou les désigne, l’étudiant, n’est que l’une de ses identités. La question dont nous allons nous préoccuper ici est donc : comment l’étudiant se définit-il ? Comment sont organisées les identités le composant ?

Nous avons élaboré, pour répondre à cette question, plusieurs hypothèses : Tout d’abord, on peut supposer les identités de l’étudiant sont composées des rôles sociaux qu’il assume. Ces identités permettraient alors à l’étudiant de se conformer à ces rôles.

Ensuite, on peut supposer qu’en plus de ces identités sociales, l’étudiant possède des identités relatives aux pratiques qu’il affectionne hors de tout rôle social.

Enfin, les différentes identités, appartenant à un même individu, seraient donc en relation les unes avec les autres.

Pour répondre à cette question, nous avons choisi d’étudier l’étudiant au travers de sa pratique d’Internet car il s’agit d’un média « neutre » dans le sens où l’étudiant peut exprimer toutes ses identités par ce biais. Aussi avons-nous fait porter le guide d’entretien sur les pratiques des étudiants sur Internet.

14 janvier 2007

Un étudiant....

   Un étudiant c'est avant tout une personne qui apprend. Peu importe son âge, son sexe ou ce qu'elle peut bien étudier. L'etudiant se reconnait généralement aux délicates cernes qui lui ornent le dessous des yeux en période d'examen et au rythme de vie assez particulier qu'il peut avoir. Depuis beaucoup d'année, l'étudiant est observé avec minutie, ses usages et ses pratiques disséquées, pour donner naissance à des études scientifiques et à des services spécifiquement élaborés pour lui. Les réductions au théâtre et au cinéma n'existeraient sûrement pas si une étude n'avait pas prouvé que les étudiants, d'une part, consommaient ces pratiques culturelles, et d'autres part, n'avaient pas toujours les moyens de se les payer. Un étudiant c'est une catégorie sociale qui existe, et qui peut se fédérer lors de savoureuses manifestations quand ils ne sont pas content.
    En résumé, un étudiant ça fait plein de choses. Mais, à part ça ? Qu'est ce qu'un étudiant ? Seulement quelqu'un qui apprend ? Toutes les personnes concernées répondront en coeur "non". 

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14 janvier 2007

Et un début en fanfare

  Il était une fois, donc, un petit chat nommé Gobolino, qui, pour faire plaisir à une Geekette et se débarasser d'un affreux truc qui buggait tout le temps décida d'aller chercher un panier du côté de par ici. Cela marchera-t-il ? A voir

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